Le poète écrit, il ne sait pas vraiment pourquoi, peut-être pour lui-même ? Cela commence souvent à l’adolescence, tourmentée, voire à l’enfance… La douleur est une muse fidèle et bénéfique. Il écrit et entasse ; mais happé par les événements, il oublie, puis retrouve, quand, à l’échelle du grand univers, la vieillesse et la mort arrivent comme des balles. Et bien que les poètes ne meurent pas, il faut vite régler ses affaires ; débarrasser, trier, léguer, publier. Jules LE POEINC ressort ici quelques poèmes dans une première publication.